Le pouvoir de la prière (pdf)

L'automne de 1857 a vu New York plongée dans un échec financier qui a ruiné bon nombre de ses un million d'habitants. J.W. Alexander, de retour d'Europe, découvrit "un voile de deuil sur chaque maison". Contrairement à d'autres périodes de catastrophe nationale, cette ère fut accompagnée d'un esprit renouvelé de prière, suivi d'une manifestation de la "merveilleuse bonté" de Dieu, alors que des milliers passaient de la tristesse mondaine à la possession de richesses durables. L'œuvre de Samuel Prime, rédigée avec l'aide d'autres ministres, offre un témoignage direct de l'année qui a vu le dernier réveil national en Amérique - un réveil qui, silencieux et inattendu, contrastait fortement avec l'idée que l'évangélisation est principalement une affaire d'efforts humains. En 1858, les grandes vérités "rendues extrêmement évidentes" étaient "l'influence du Saint-Esprit et le salut gratuit par la justice du Seigneur Jésus-Christ".

Il s'agit en grande partie de l'histoire humaine de personnes dans lesquelles Dieu est intervenu. Mais la principale leçon est durable. L'esprit de Dieu, croyait Prime, avait l'intention que le réveil soit un exemple durable pour l'Église de la relation entre Son œuvre et la prière croyante. Ce titre rare a été le dernier que le Dr Martyn Lloyd-Jones a recommandé pour une réédition avant sa mort. Peu de livres peuvent être plus pertinents pour l'Église aujourd'hui.